Fiche produit

Omega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasionOmega  Seamaster 120 occasion
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Omega  Seamaster 120 occasion
  • Boîtier d'origine ☑
Référence MLC : MLC-12760

Omega

Seamaster 120

Prix MLC : 1100 € Montre Moderne
L'oeil du pro :

Aujourd’hui, le prix des modèles similaires proposés par Oméga débute à 2200 €.

Robuste et étanche, la Seamaster 120 que MLC vous propose est en parfait état et saura vous accompagner en toutes circonstances.

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Mouvement quartz

Boitier en Acier
Diamètre de 36 mm
Hauteur de 10 mm
Heure, minute, seconde centrale, date
Verre saphir
Cadran bleu

Bracelet en acier
Boucle déployante Omega en acier

Historique

Un calibre 38.5 d’une Gousset Omega (1941)

Fondation

En 1848, Louis Brandt, alors âgé de 23 ans, ouvre un comptoir d’établissage4 à La Chaux-de-Fonds dans le canton de Neuchâtel. Ses montres portent la marque « Louis Brandt ».

En 1879, les deux fils du fondateur, Louis-Paul et César Brandt, décident de se lancer dans la fabrication industrielle «  à l’américaine ». En raison de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et de surfaces disponibles et de l’opposition de leurs concurrents, La Chaux-de-Fonds ne leur paraît pas convenir. Après avoir envisagé de s’implanter dans plusieurs villages du Jura, ils s’installent définitivement à Bienne dans le canton de Berne, mieux située sur le plan logistique (transports, main-d’œuvre, fourniture d’énergie, etc.). Dès janvier 1880, ils lancent leur premier calibre fabriqué par des procédés mécaniques. Fiable et bon marché, le produit connaît un succès fulgurant. Dès le second semestre 1880, l’entreprise occupe 250 personnes et lance ses premières marques. À l’époque, le temps de travail dans l’entreprise est de 59,5 heures hebdomadaires, ce qui est inférieur au maximum légal fixé à 65 heures5. Avant la fin de la décennie, l’entreprise devient la plus grande de l’horlogerie suisse, occupant 600 personnes et à même de produire 100 000 montres par année. La qualité de la production est reconnue par la Confédération suisse et à l’étranger.

Le calibre 19´´´

En 1894, l’entreprise lance le calibre Omega 19 lignes6, qui donnera son nom à l’entreprise. Le nom est déposé dès le 10 mars 1894. Ce produit est une réussite totale aussi bien technique que commerciale : vingt ans plus tard, en 1914, il représente encore le tiers de la production d’Omega7. En 1896 : Omega remporte sa première récompense. L’entreprise occupe près de 800 personnes et fabrique 100 000 montres Omega par année. On la considère déjà comme la « plus importante fabrique d’horlogerie de Suisse ». Les premières contrefaçons apparaissent8. Après la mort des deux fondateurs, l’entreprise est transformée en société anonyme au capital de 250 000 francs (14 mai 1903).

Le temps des crises

Jusqu’en 1907, les affaires sont florissantes : l’entreprise tente d’atteindre une production de 10 000 pièces par jour en rationalisant et optimisant ses processus de fabrication. Mais en 1908 et 1909, l’industrie horlogère connaît une crise majeure : certaines firmes perdent jusqu’à 25 % de leur chiffre d’affaires. Omega parvient à limiter l’érosion de ses exportations à 7 % seulement. La crise passée, la demande augmente à nouveau, à tel point que la société peine à livrer ses clients.

Réclame de 1923 (L’Illustration)

En 1909, Omega assure son premier grand chronométrage sportif lors de la coupe Gordon Bennett de Zurich.

La Première Guerre mondiale provoque des perturbations importante dans la production et l’engagement en masse de personnel féminin. En 1918-1919, la Suisse subit, comme ses voisins, une épidémie de grippe espagnole et surtout une vague de grèves ouvrières sans précédent. Les ouvriers d’Omega bloquent l’accès à l’usine et la direction fera appel à la troupe pour en dégager l’accès. La semaine de travail tombe à 48 heures, des vacances payées sont accordées aux ouvriers9. Malgré les accords, les conflits sociaux persistent et la firmes connaît encore plusieurs épisodes de grève. À la fin de l’année 1920, les commandes chutent brutalement. L’entreprise est prise de court et l’exercice suivant se conclut sur une perte financière de plus de 600 000 francs10. En 1924, Omega se rapproche de la firmeTissot, qui a connu les mêmes difficultés11.

La SSIH

La crise de 1929 va accélérer le processus de fusion en 1930 et pousser à la création d’une société holding, la Société suisse pour l’industrie horlogère (SSIH) qui chapeaute les entreprises Omega et Tissot, déjà liées par une convention d’intérêts. Dans le partage de marché que prévoit l’accord, la production haut de gamme est attribuée à Omega, tandis que Tissot exploitera le milieu de gamme. À peine deux ans plus tard, un partenaire inattendu se joint à la SSIH, le fabricant de complications Lemania de la vallée de Joux. Il apporte des compétences qui n’existaient pas auparavant dans le groupe, en particulier la fabrication de chronographes. Ce qui permet à Omega d’assurer la même année le premier chronométrage des Jeux olympiques à Los Angeles.

Mais la crise continue. En 1931, la moitié du personnel est mis au chômage complet. En 1932, la production chute et ne représente plus que 60 % de celle de 1929 ; l’effectif recule à 700 personnes, dont seules 30 ne chôment pas. La crise sera cependant l’occasion d’implanter de nouvelles méthodes de fabrication et l’optimisation des processus : interchangeabilité quasi complète des ébauches, travail à la chaîne effectué par un personnel moins qualifié, etc. Jusqu’en 1937, date de la signature de la Paix du travail, la vie de l’entreprise sera émaillée de grèves et de conflits sociaux. Les affaires reprennent alors lentement (les exportations sont alors pénalisées par la cherté du franc suisse). La fin des années 1930 est caractérisée par l’obtention d’un prix de précision de Kew Teddington12 et l’apparition des calibres R 13,5 et surtout30 mm. L’instabilité politique croissante (Anschluss, crise des Sudètes, Accords de Munich, Nuit de cristal, annexion de la Bohème-Moravie…) fait à nouveau faiblir les ventes.

La Seconde Guerre mondiale

L’attitude protectionniste des États-Unis, l’extension des zones de conflits, l’effondrement de la demande civile et la fermetures des voies de communication marquent un frein très net. Dès 1939, la France fait pression sur les entreprises frontalière du Jura suisse (Omega, Dixi, etc.) pour obtenir des pièces de détonateurs13. Malgré son refus catégorique et affiché de fabriquer du matériel militaire pour quelque belligérant que ce soit, il semble qu’Omega ait livré à la France des percuteurs pour les canons de la flotte aérienne et qu’un projet de carabine fut élaboré, puis abandonné14. Omega devient le plus gros fournisseur de montres pour l’armée de l’air britannique, qui lui en commandera 110 000 jusqu’à la fin du conflit (soit les 2 tiers de ses exportations). Sur le plan social, la guerre est l’occasion pour la firme de fonder un fonds de prévoyance pour ses employés. 1942 voit le lancement des premières montres automatiques : Omega Automatic. Le 14 novembre 1944, est fabriquée la 10 000 000e montre portant la marque Omega, un chronomètre de poche or de 37,5 mm.

La fin de la guerre marque un réel engouement international pour les montres Omega (qui développe une campagne publicitaire dynamique) : Omega est choisi comme montre officielle par Canadian Air Force, la Royal Australian Air force, armée américaine, Air France, Sabena, Canadian Pacific Airlines, etc.

Après 1945

Un chronographe Seamaster (modèle récent)

  • 1948 : Première Seamaster
  • 1952 : Lancement du chronomètre-bracelet Constellation
  • 1957 : Création du chronographe Speedmaster

The Moon Watch

Article détaillé : Speedmaster.

Omega Speedmaster

  • 1965 : La NASA choisit la Speedmaster comme chronographe officiel.
  • 1969 : Buzz Aldrin pose son pied sur la Lune le 21 juillet en portant un chronographeSpeedmaster dit Moonwatch, alors la seule montre capable d’aller dans l’espace sans risque de rupture du verre de la montre (qui est remplacé par un vitrage en plexiglas). Neil Armstrong avait laissé le sien dans le LEM en raison de la panne du chrono de bord.

La crise

Dans les années 1970 et 1980, l’industrie horlogère connaît une crise sans précédent. La plupart des fabricants disparaissent ou fusionnent dans la SMH. Omega ne fit pas exception à la règle et au début des années 1980, ses difficultés la conduisent quasiment au dépôt de bilan ou la vente à un concurrent asiatique15.

  • 1970 : Lancement des premières montres électroniques. Omega présente plusieurs produits d’avant-garde à la Foire de Bâle. Dans les années qui suivent, la marque développera de nombreux calibres à quartz.
  • 1983 : Fusion des groupes horlogers SSIH et ASUAG (Allgemeine Gesellschaft der schweizerischen Uhrenindustrie AG) pour devenir, en1985, la « Société suisse de microélectronique et d’horlogerie SA » (SMH), aujourd’hui rebaptisée Swatch Group.
  • 1984 : Après la fusion SSIH et Asuag, Omega perd son statut de manufacture, ainsi que les activité de Recherche et Développement.
  • 1985 : La direction, persuadée de la prochaine disparition de la montre mécanique, réduit drastiquement l’offre en la matière. Seuls subsistent une poignée de modèles, dont le fameux Speedmaster.
  • 1986 : Restructuration sévère de la SMH. Les activités d’assemblage et de terminaison d’Omega sont confiées à ETA Manufacture Horlogère.
  • 1987 : Sauf pour quelques rares modèles, Omega renonce à l’homologation chronomètre pour des raisons de coût.

La renaissance

  • 1994 : ETA développe deux calibres exclusivement pour Omega : les 651 et 1120. Création du calibre 1170 Tourbillon central.
  • 1996 : Réorganisation en vue de mieux définir la spécificité de la marque.
  • 1999 : Omega introduit l’échappement co-axial dans ses modèles.
  • 2007 : Apparition du nouveau calibre maison 8501.

Musée

Un musée Omega se trouve à Bienne16.

Le conservateur du musée est Brandon Thomas depuis janvier 2010, il remplace Marco Richon, également auteur de plusieurs ouvrages de référence sur la marque.

 Contenu soumis à la licence CC-BY-SA 3.0. Source : Article Omega (montres) de Wikipédia en français (auteurs)


www.omegawatches.com/fr
www.omegawatches.com

Plusieurs objets cultes de la saga ont été vendus aux enchères, vendredi 5 octobre, chez Christie’s à Londres.

Pour marquer le cinquantième anniversaire des aventures cinématographiques de l’agent 007, des objets cultes tels que la voiture, le maillot de bain, le costume ou encore la montre ayant contribué au style de James Bond, ont été vendus aux enchères, vendredi, par la célèbre maison londonienne Christie’s.

La collection exceptionnelle contenait également des pièces extraites du dernier film de la saga, le très attendu Skyfall. La montre en titane Omega portée par Daniel Craig a été acquise pour 157.250 livres (soit 194.395 euros).

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